Questions fréquentes

Dans beaucoup de situations, oui. Les tests cutanés, sanguins ou parfois de provocation permettent de clarifier si une allergie est réelle ou non.

Souvent, oui. Certaines allergies changent avec le temps, d’autres n’étaient pas confirmées. Une réévaluation peut permettre d’élargir les possibilités de traitement ou d’alimentation.

Cela dépend des examens nécessaires. Lors d’un premier bilan, il faut prévoir un temps suffisant, soit une heure, pour l’entretien, les tests et l’explication des résultats.

Pour les tests cutanés, il est important d’arrêter les antihistaminiques quelques jours avant. Le médecin vous indiquera la durée exacte selon votre situation et l’antihistaminique utilisé.

En principe non, sauf consigne particulière du médecin. Pour les tests de provocation oraux vous devez, par contre, être à jeun.

Les tests sont réalisés sous surveillance médicale. Les méthodes et doses sont adaptées pour votre sécurité.

Oui. C’est souvent le meilleur moment pour faire les tests et organiser le traitement.

Parfois, oui. Certaines allergies évoluent avec l’âge. Une réévaluation peut permettre d’élargir son alimentation, d'adapter le traitement ou de modifier les précautions.

Les tests permettent de clarifier les aliments réellement à risque et ceux qui sont tolérés, pour éviter des exclusions inutiles.

Oui, les tests cutanés et sanguins sont possibles à tout âge et sont réalisés de manière adaptée et sécurisée.

Oui, certaines allergies peuvent diminuer ou même disparaître avec le temps, surtout chez les enfants. Par exemple, les allergies au blé, au lait ou aux œufs s’atténuent souvent en grandissant. En revanche, d’autres, comme les allergies aux pollens, aux acariens ou aux poils d’animaux, ont tendance à persister.

Un suivi médical régulier et, dans certains cas, une désensibilisation peuvent aider à réduire les symptômes et améliorer la qualité de vie.

Oui, les allergies peuvent être prises en charge efficacement. Le traitement repose d’abord sur l’éviction de l’allergène, puis sur des médicaments pour soulager les symptômes (comme les antihistaminiques, les sprays nasaux, les gouttes oculaires et les inhalateurs).

Dans certains cas, une désensibilisation — aussi appelée immunothérapie — peut aider à réduire durablement la réaction allergique et améliorer la tolérance à l’allergène.

Oui. Une évaluation permet d’identifier les risques réels et de savoir quoi faire si la situation se reproduit.

Une consultation permet de  clarifier si un produit est sûr ou s’il existe une alternative adaptée.

Une évaluation spécialisée permet de déterminer l’origine de la réaction et de préparer l’intervention en sécurité. L’obtention du protocole d’anesthésie lors de la réaction est essentiel.

Non. La plupart des urticaires chroniques n’ont pas de cause identifiable. Une partie des urticaires aiguës n’a pas de cause allergique. Un bilan peut aider de comprendre l'origine et d'ajuster le traitement.

Un médicament biologique est un traitement fabriqué à partir de cellules vivantes, et non de produits chimiques classiques. Il agit de façon très ciblée sur certains mécanismes du corps, par exemple pour bloquer une substance responsable d’une réaction du système immunitaire.